Nourri par ses trois passions, la peinture, l’écriture et le théâtre qui est devenu son métier, Eduardo Galhos se retrouve entièrement dans la pratique de ces disciplines qu’il aime faire communiquer entre elles, chacune trouvant dans le temps et l’espace leurs moments essentiels.
Au Portugal, entre 1959 et 1969, Eduardo GALHOS (Edo) peint, principalement des portraits et écrit de la poésie qui est publiée dans différents journaux. Il est invité à des soirées littéraires où il commence à dire ses poèmes, ce qui le mène au théâtre et à la télévision, avec un passage au Theatro Nacional D. Maria II (Lisbonne).
En 1970, il est à Paris, boursier de la Fondation Calouste Gulbenkian (Lisbonne) afin de suivre l’enseignement de l’école internationale de théâtre Jacques Lecoq. Il y devient professeur de 1972 et 1982 et également dirige plusieurs stages professionnels de formation du comédien (France, Corse, Allemagne, Danemark, Canada, Italie) tout en poursuivant ses activités de metteur en scène et de comédien pour le théâtre, le cinéma et la télévision.
A Paris il travaille le théâtre Nô et le Kabuki.
Nourri par ses trois passions, la peinture, l’écriture et le théâtre qui est devenu son métier, Eduardo Galhos se retrouve entièrement dans la pratique de ces disciplines qu’il aime faire communiquer entre elles, chacune trouvant dans le temps et l’espace leurs moments essentiels dans son travail de recherche avec sa compagnie de théâtre « TMMT ».
De tous ses voyages professionnels à l’étranger en tant que pédagogue ou comédien, le Japon demeure une de ses plus fortes émotions artistiques, bouleversant son écriture, son théâtre et principalement sa peinture.
Ainsi, sont nées des idéogrammes, ne représentent ni sons ni mots, mais qui ne sont que mouvement et respiration, des calligraphies où l’air circule pour les lire. Des formes qui frappent par l’extraordinaire spontanéité du trait et s’imposent comme une pure esthétique.