Un voyage musical à travers la chanson du Québec, des années 60’ aux années 2000
Une dimension musicale
Une dimension historique
Un concert qui est tout à la fois soirée musicale, conférence et témoignage
La langue française telle que parlée et vécue au Québec, avec un répertoire qui raconte l’histoire de la Belle Province en chanson et interprété par une Québécoise "pure souche", la chanteuse - pianiste Caroline Harvey
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Dans ce spectacle composé des chansons qui ont marqué la nation québécoise, s’entremêlent une dimension de conférence portant sur le rôle politique de la chanson dans l’histoire du Québec, et une dimension de témoignage, étant donné le parcours personnel d’artiste engagée de Caroline Harvey.
Artistes pour la Paix, Marche mondiale des Femmes, Éditions Écosociété, mouvement altermondialiste, etc., Caroline s’est impliquée en tant qu’artiste sur plusieurs fronts liés à la paix et à la coopération internationale. Elle a, entre autres, fait partie d’une mission humanitaire qui s’est rendue en Irak. Directrice artistique, elle a conçu et organisé une vingtaine de spectacles multiculturels et multidisciplinaires d’envergure, sur les thèmes de la paix et de la justice sociale. Elle dispose d’une maîtrise de l’Université de Montréal en Littérature comparée, dont le mémoire s’intitule : « L’évolution de l’idée de nation dans la chanson québécoise, de la Révolution tranquille à la globalisation ».
“ Les frissons parcourent la peau. Caroline Harvey, ce n’est plus une voix, c’est tout un corps qui chante. On se demande d’où ça part et où ça peut s’arrêter. Elle ne sera jamais ‘star’. C’est déjà une étoile. Non, non, cousine du Québec, ce n’est pas assez, on te veut sœur. ” – Ouest-France
“ La voix, les mélodies et les paroles de l’auteur-compositeur-interprète Caroline Harvey séduisent dès la première écoute. ” – Le Journal de Montréal
“ Elle a une belle voix, un registre étendu qui lui permet d’interpréter ses compositions et les grands airs de jazz, de blues. Elle a un talent fou cette fille, elle ne restera sûrement pas dans l’ombre. ” – Le journal La Presse