Bernard Vial :
Le Docteur Bernard VIAL est médecin généraliste en Provence depuis 45 ans, après avoir exercé les fonctions de Chef de Clinique en Médecine au C.H.U. de Montpellier (Professeur Louis BERTRAND).
Ses travaux en phytothérapie médicale, en homéopathie et (...) Lire la biographie complète
Après nous avoir informé des dernières découvertes et avancées sur le Proteïon, éclairé sur la botanique médicale, le Docteur Bernard Vial revient pour troisième conférence à l’entrepôt nous présenter l’homéopathie moderne.
Depuis 25 ans, publie articles et livres sur la vie affective, l’impact affectif des remèdes des trois règnes (végétal, minéral, animal) et sur l’origine affective des maladies.
L’homéopathie a développé la loi de similitude en mettant au centre du choix thérapeutique une plante, un métal ou un produit d’origine animale qui « ressemblerait » au conflit affectif du patient.
Le médicament homéopathique est choisi d’après les réactions de chacun face à sa maladie, et non d’après le nom de l’affection : c’est l’individualisation.
De plus, il est indiqué par l’ensemble des symptômes caractéristiques du patient : c’est la globalité.
En homéopathie, le symptôme pathologique n’est pas la maladie, il n’est que la partie apparente de l’iceberg. Son action a pour but de mobiliser les forces réactionnelles de l’organisme qui ainsi éliminera ses symptômes de lui-même. La guérison homéopathique n’est pas seulement la disparition de la pathologie en cause, elle doit s’accompagner d’une amélioration du patient dans sa globalité, énergie et mental compris. Après la prise d’un remède, ses effets continuent, tout comme un satellite poursuit sa trajectoire après avoir été placé sur orbite.
Tout se passe comme si le médicament homéopathique envoyait à l’organisme une information ciblée dans un langage commun. Si ce dernier est reconnu par le patient, il met en route ses processus de guérison. Dans le cas contraire, il n’y a aucune réponse de sa part et le remède est inefficace. S’il est partiellement entendu, l’amélioration sera incomplète et n’intéressera qu’une partie de l’organisme."
En 1994, le PROTEION, organe protéique sanguin, est décrit comme un organe liquidien étiré dans 150 000 km de vaisseaux, comme un câble internet.