Bernard Vial :
Le Docteur Bernard VIAL est médecin généraliste en Provence depuis 45 ans, après avoir exercé les fonctions de Chef de Clinique en Médecine au C.H.U. de Montpellier (Professeur Louis BERTRAND).
Ses travaux en phytothérapie médicale, en homéopathie et (...) Lire la biographie complète
Médecin généraliste par conviction, après avoir été chef de clinique en médecine au CHU de Montpellier, j’ai été passionné d’emblée par la méthode C.E.I.A., les profils protéiques informatisés que j’ai découverts en 1980.
Les 100 premiers cas cliniques suffirent à me laisser penser que la sélection des remèdes à partir de la courbe en V, image de synthèse de l’ensemble des protéines plasmatiques, indiquait avec précision, pour le malade et pour moi, le conflit affectif inconscient (les psychanalystes disent « refoulé »).
Je ne me doutais pas alors que j’allais rencontrer les meilleurs médecins homéopathes de France, que nous allions ensemble faire progresser la MEDECINE AFFECTIVE, puis la SCIENCE AFFECTIVE, pendant 40 ans.
Les publications n’ont pas obtenu l’agrément des institutions : Académie de Médecine, Ordre National des Médecins, Médecin conseil national de l’Assurance Maladie.
25 ans plus tard, la SCIENCE AFFECTIVE est devenue une discipline universitaire en Suisse et une section de recherche de l’INSERM.
Les changements dans la physiologie de l’information, les théories du PROTEION et du DESIRION, celles de l’ORAGANE du SAVOIR (le métalloscope quantique), tous ces résultats de recherche en médecine générale et homéopathique n’en finissent pas de bouleverser l’EPISTEMOLOGIE (nom écossais pour « spécialistologie »).
La médecine quantique est encore moins acceptée que la médecine affective en 2022. Mais l’aventure est fabuleuse.