Chères amies, chers amis,
Toujours difficile de choisir mon image du jour.
La licorne (quasiment en 5d) est une symbolique que j’ai trouvé intéressante pour ce 1er mai 2021.
La situation semble identique à l’an dernier car les lieux de culture restent fermés au même titre que tout ce qui n’est pas "essentiel". Les conditions sont toujours les mêmes, le « R », les cas, rarement les vrais chiffres, la peur, les pass, la vaccination, et pourtant le temps passe et les cliquets s’engagent les uns après les autres. Il semble que tout se déroule comme prévu...
Je pense que s’il y a de l’ombre, la lumière est aussi présente. Il suffit de regarder du bon coté.
L’ombre projetée dépend aussi de l’heure. Chronos est avec nous.
Pour cette lettre, je voudrais partager des témoignages d’autres personnes, témoignages qui m’ont touché.
Mais avant, je voudrais dire que vous me manquez à l’Agora... Je vous fais partager un geai de liberté (si chère) et un reportage photographique que j’ai réalisé pendant le deuxième confinement en 2020 (je précise la date, on ne sait jamais).
Lien vers le reportage : Mémoire du deuxième confinement
En premier partage, vous trouverez ci dessous un texte de Mère (Auroville) et un texte de Soljenitsyne.
En deuxième partage un inconnu il y a 18 mois, aujourd’hui une voix et une voie. Je mets le lien de 2 vidéos avec le Dr Louis Fouché, j’aurai pu en mettre 5 ou 6.
Troisième partage, trois textes de réflexions du Professeur Bill Willers sur les masques, de Jean-Louis Gueydon sur la peur, et de Monique Schloupt « 1 an après, qu’avons-nous appris »
Enfin je relaie un petit appel du 1er mai historiquement fête de Saint Philippe et Saint Jacques et 40 jours après l’équinoxe et un remerciement de Réinfocovid.
Bonne lecture, bonne écoute, et on ne sait pas mais bientôt en présence.
Je pense que de plus en plus de personnes s’éveillent, alors nous pouvons garder un œil d’espoir pour le futur.
Prenez soin de vous, merci d’avoir pris le temps de me lire et merci aussi de toutes vos réactions. C’est grâce à vous que je prends plaisir à vous écrire.
Philippe
Les textes partagés
L’Avenir de la terre dépend d’un changement de conscience.
Texte de Mère (Auroville)
"Le seul espoir pour l’avenir est dans un changement de la conscience humaine, et il est inévitable que ce changement se produise.
Mais il appartient aux hommes de décider s’ils veulent collaborer à ce changement ou s’il devra leur être imposé par la force de circonstances catastrophiques.
Alors réveillez-vous et collaborez."
Citation de Alexandre Soljenitsyne
Le Masque comme symbole de soumission
par Bill Willers
Nous savons que le port d’un masque en dehors des établissements de santé n’offre que peu, voire aucune protection contre les infections. –The New England Journal of Medicine, 21 mai 2020
(T)hey nous a dit exactement ce qui allait arriver, et nous a conseillé de nous taire et de suivre les ordres. Malheureusement, la plupart des gens ont fait exactement cela. – CJ Hopkins, 2020
Il est difficile d’imaginer une attaque plus cruelle contre la famille que la prévention insidieuse des contacts de personne à personne.
Ce qui équivaut à une assignation à résidence, plus le port forcé d’un masque, plus l’ordre de rester à distance des autres, a pour but déclaré de prévenir la contagion, mais comme l’a dit récemment le philosophe Giogio Agamben, « C’est une contagion politique, qu’on le comprenne ». Il a raison. La contagion qu’il faut contrôler n’est pas virale, mais politique. La triade des mandats officiels entrave la communication qui ne peut être contrôlée. En ligne, un discours et une stratégie politiques non autorisés peuvent être enregistrés pour le dossier de l’individu. Dans la rue, ce n’est pas le cas, du moins pas encore.
En 1933, Hitler a suspendu la Constitution de Weimar suite à l’incendie du Reichstag. Les droits des citoyens prévus par cette Constitution ont été abolis et n’ont jamais été rétablis.
Un drame similaire continue de se jouer aux États-Unis depuis l’attaque du 11 septembre, qui a donné lieu au Patriot Act (au titre ironique) qui bafoue la Constitution US, donnant ainsi libre cours aux services de renseignement de la nation de concert avec les géants des médias sociaux. Le tout premier amendement est nié en fonction de la définition que quelqu’un donne du « discours de haine » ou de « normes communautaires », des sites d’information et d’opinion étant « dégradés ». Le quatrième amendement est un mensonge caché dans le sens où on a planifié d’enregistrer tous les gestes des citoyens numériquement, et malheur aux personnes qui enfreignent les règles.
Le confinement n’a jamais vraiment été lié à une pandémie. Covid19 n’en était que le prétexte. Bill Gates lui-même a admis (dans un moment sans surveillance ?) que les précédents SRAS et MERS étaient plus "mortels" , c’est-à-dire plus meurtriers, que le virus Covid19. Pourtant ces virus sont arrivés et repartis sans provoquer l’effondrement de l’économie. Mais il y a plus que l’économie, c’est la vie quotidienne telle que nous la vivons tous qui a été une des principales visées du confinement. Mettre fin au verrouillage demain ne suffirait pas à réparer les dommages déjà causés. Nous avons été psychologiquement éprouvés et il n’y a pas de solution en perspective. Des avertissements de « pics » et de nouvelles vagues nous sont communiqués quotidiennement. Oui, d’innombrables emplois et entreprises sont sont en train de disparaître, mais c’est l’impact psychologique dévastateur qui se répercute sur toute la société qui est indéniable. Les séquelles émotionnels et psychiques ne se résorberont pas de sitôt. Comme prévu, nous sommes désorientés et le serons pendant des décennies, alors que les « internationalistes conspirateurs », comme les appelle David Rockefeller, nous préparent à une vie correspondant à leur dessein mondialiste.
Les masques en tissu que l’on voit partout aujourd’hui sont devenus symboliques. Aussi utiles soient-ils pour arrêter les gouttelettes en suspension dans l’air, ils n’empêchent pas le passage des virus, comme le montre l’avertissement sur une boîte du type de masque que l’on voit couramment. Au mois de mars, l’expert préféré des médias, Anthony Fauci, a déclaré sans ambiguïté sur CBS 60 Minutes que : « Il n’y a aucune raison de se promener avec un masque ». Deux mois plus tard, alors que les demandes de confinement s’intensifiaient, il a changé d’avis et s’est prononcé en faveur du masque en tant que « symbole destiné à être vu par les gens ». Les articles de presse indiquant que les masques sont inefficaces, voire contre-productifs, parviennent rarement aux aux yeux du grand public, ou bien ils ont tout simplement disparu. Or, le masque est sans aucun doute un symbole – un symbole de soumission.
Vivre en toute liberté comporte un niveau de risque tout à fait normal. En plus des divers germes et parasites qui font partie de la nature, il y a les coups de foudre, les collisions de voitures, les chutes dans les escaliers et la proie éventuelle des criminels – principalement des représentants de nos gouvernements. Nous sommes impliqués dans une campagne de terreur fabriquée par un groupe de personnes puissant qui considère que la majorité de la société est un troupeau à contrôler. Ceux qui comprennent cela, mais qui portent néanmoins un masque simplement pour se conformer à ce qu’ils supposent être le choix de la majorité, se se laissent prendre à cette arnaque. Enlevez ce satané truc ! Respirez en toute liberté !
Bill Willers
N’ayez pas peur, vous n’êtes pas malades !
par Jean-Louis Gueydon de Dives
Si je n’ai pas mis d’articles nouveaux sur ce blog depuis quelque temps, c’est que soudain j’ai eu besoin de sortir de l’obsession covidienne, de respirer un peu l’air du Printemps, et de contempler le ciel bleu et les arbres en fleurs plutôt que les bas-fonds humains.
Ce qui m’a permis de ressentir les premiers frémissements d’un réveil des consciences, avec par exemple un petit peu plus de gens sans masques dans les rues, plutôt d’ailleurs des jeunes et des femmes.
Il reste cependant une large majorité de gens craintifs, obsédés par leur propre protection, courant se faire vacciner après avoir couru se faire tester et re-tester.
Pourquoi ont-ils si peur alors que l’on sait que seules quelques personnes très âgées et en mauvaise santé risquent de mourir un peu plus tôt que prévu, comme c’est d’ailleurs le cas tous les ans avec les grippes saisonnières, sans que jamais personne ne s’en émeuve ?…
Malgré cela ils continuent à être terrorisés, alors qu’ils sont en bonne santé et ne risquent rien !
Comment est-ce possible ? Et comment surmonter cette peur ?
Si l’on y regarde de plus près, il y a eu en fait une évolution de la peur.
Au début c’était bien la peur de la maladie et de la mort, instillée dans les esprits par la communication anxiogène des agences gouvernementales relayées par les grands media. Un « debriefing » récent sur France Soir d’un psychiatre, le Dr Badel ( lien ici ) explique bien cela, ce qu’il voit chez ses patients, le rôle néfaste des medias, et en particulier de la télévision, qui a provoqué une sorte d’hypnose des gens les déconnectant de la réalité.
Le remède selon lui est assez simple : revenir à la réalité en consultant d’autres media, plus diversifiés dans leur messages et les informations qu’ils diffusent.
Mais il y a une autre peur, plus insidieuse, qui est en train de s’installer, celle de ne plus jamais pouvoir sortir de ce cauchemar, de ne plus jamais pouvoir revenir à une vie « normale », d’être obligé de se confiner et se reconfiner indéfiniment, avec le risque que de nouveaux variants apparaissent sans cesse, contre lesquels il faudra de nouveaux vaccins…Une vie cauchemardesque pour l’éternité…
Cette peur là, avec l’impossibilité de fuir ailleurs, comment peut-on en sortir ?
C’est une peur qui ne se limite pas à la dictature sanitaire. On la retrouve un peu partout, dans cet étau qui ne cesse de se resserrer autour de chacun : les ondes électromagnétiques subies, les interdictions des thérapies alternatives, les vaccins obligatoires, la censure sur les réseaux sociaux, les cameras de surveillance un peu partout, l’obligation de posséder un téléphone portable, peut-être bientôt la disparition du cash…
Comment fuir ces contraintes lorsqu’elles s’étendent au monde entier ? Dans quelle planète se réfugier ?
Les dénoncer et lutter contre, c’est bien sûr nécessaire, mais ce n’est pas gagné, tant les pouvoirs qui les mettent en place sont puissants, et tant sont nombreux parmi nous ceux qui approuvent ces contraintes et s’y soumettent volontiers.
Personnellement je pense que la seule fuite possible permettant d’échapper à ce monde insupportable, ne se situe pas sur le plan matériel. Il n’y a pas d’issue à ce niveau. L’issue est de passer sur un autre plan d’existence, un plan spirituel, et c’est sans doute ce qui va se passer pour certains d’entre nous.
Passer sur un plan spirituel cela signifie sortir d’une représentation purement matérialiste de la Vie et du Cosmos, cette vision qui imprègne depuis des siècles la science et la société, selon laquelle rien d’autre n’existe que la matière et la technologie qui permet de la manipuler.
Passer sur un plan spirituel c’est reconnaître que nous sommes des êtres spirituels, dotés d’une âme, d’un esprit, appelez-cela comme vous voulez, que rien ni personne ne pourra jamais nous enlever, et donc qu’il n’y a pas de raison d’avoir peur.
Et passer sur un plan spirituel c’est agir en conséquence, c’est à dire mettre œuvre des solutions à nos problèmes à partir de ce plan spirituel, et pas seulement au niveau matériel et technologique.
Très concrétement, pour revenir au niveau de la santé et de la maladie, cela veut dire se soigner par l’Esprit et avec l’Esprit, plutôt qu’avec des molécules. Par exemple se soigner avec l’Esprit d’une plante, plutôt qu’avec sa substance matérielle, comme le font déjà certains thérapeutes : je renvoie à cet égard au livre d’Eliot Cowan que j’ai traduit : « Soigner avec l’Esprit des plantes, une voie de guérison spirituelle ».
Notez bien que je ne parle pas de médecine quantique ou d’ondes scalaires, toutes choses très intéressantes, mais qui appartiennent encore au plan matériel, même s’il s’agit de particules élémentaires ou d’ondes invisibles.
Il s’agit plutôt de reconnaître qu’il y a un au-delà de la matière, un au-delà proprement spirituel, dont la matière est issue. Cela paraîtra sans doute étrange à la plupart, mais n’est-ce pas que ce que savaient déjà nos ancêtres, que nous avons simplement oublié ?
Et sur ce plan là, où jamais les ploutocrates ne pourront nous atteindre, il ne peut plus y avoir de peur…
Un an après, qu’avons nous appris ?
par Monique Schloupt
Bonjour à tous,
Après un petit moment silencieux, nous revoici ensemble, presque un an plus tard...
Que s’est-il passé en vous, dans vos vies depuis la toute première fois où je vous demandais « Où courrions-nous donc si vite » ? En regardant les thèmes de réflexion que je partageais avec vous, quelles seraient vos questions aujourd’hui ? Je vous avais encouragés à placer dans votre quotidien « la rigueur et la rectitude » et à « ouvrir l’œil et le bon ». Vous en souvenez-vous ? Puis la situation n’étant pas si facile, je vous avais proposé « d’étudier la question ». Le monde passant par une phase de fatigue et de moral assez bas, je vous avais suggéré « reposons nous mais restons éveillés ». « L’indispensable Amour » avait redonné de belles énergies pour mieux comprendre « Certes, ce monde invisible est là, il existe » ! « Gardons le cap » vous disais-je à nouveau pour ne pas sombrer dans tout ce qui nous entourait à l’époque. « La vie l’eau et la Lumière » sont là, nous permettant aussi d’« accomplir notre rôle » et de « revenir à l’essentiel » … Avez-vous donc pu vous servir de ces bases pour dépasser les difficultés, mieux vous retrouver et surtout mieux aborder votre vie quotidienne ?
Aujourd’hui, compte tenu de la situation, je serais tentée de vous dire que l’indispensable chemin à prendre est celui qui est tourné vers notre être intérieur. Non pas pour devenir des personnes égoïstes mais pour nous permettre de comprendre quel est notre travail majeur pour évoluer, pour nous transformer, changer ce monde, et ainsi être plus relié à notre partie sacrée.
J’écrivais, en 2019, en parlant du monde des micro-organismes et avant même que ne se déclare cette pandémie : "Les virus qui surgiront de nulle part dans des lieux qui ne seront plus assez élevés vibratoirement obligeront les hommes à réfléchir sur les situations et les causes, car ces virus seront de plus en plus difficiles à éradiquer pour imposer les changements de conscience et donc les changements de comportements terrestres. C’est à ce moment-là que les hommes, ignorant ce monde, se rendront compte qu’ils n’avaient jamais pris le temps de le comprendre et seront démunis devant lui " (Bactéries, consciences et vibrations, page 143)
Aujourd’hui, c’est ceci qui nous est demandé pour transcender ce qui nous arrive à travers cette catastrophe sanitaire. Il nous est demandé de changer, de changer notre vision de la vie, de devenir des êtres responsables envers nous-même et ainsi envers les autres.
Essayons de nous ouvrir à un monde plus vaste que celui que nous côtoyons, essayons de nous sensibiliser à ces autres mondes pour encore mieux nous connaître et dépasser le monde limité dans lequel nous vivons. Essayons de nous apaiser, de prendre du recul devant les événements et surtout soyons des personnes bienveillantes.
Ramener l’équilibre sur la Terre passera obligatoirement par ce chemin précieux et par la compréhension de la Lumière. Pour échapper, oserais-je dire, à tout ce qui nous empêche de vivre comme nous le voudrions aujourd’hui, l’homme va devoir comprendre que la solution lui appartient … ce n’est pas chose facile car pour pouvoir comprendre ce que l’on doit changer à l’intérieur de nous et le mettre en mouvement, il est indispensable d’en avoir conscience et de le découvrir, la difficulté suprême étant ici …
Retrouvons les choses simples, entourons nous de ceux que nous aimons et ressentons ces espaces de liberté à l’intérieur de nous pour nous permettre de vivre sereinement.
Que nos pensées aillent réconforter ceux qui souffrent actuellement et les aident à surmonter les moments difficiles qu’ils vivent. Merci.
Avec toute mon affection !
Monique Schloupt
Prise de parole du Dr Louis Fouché, Nîmes
Interview du Dr Louis Fouché
Appel du 1er mai
(sous réserve d’autorisation préfectorale)
Relais du message de Réinfocovid
Toute l’équipe de Reinfocovid adresse un grand merci à tous ses contradicteurs et au Coronavirus.
Tout d’abord chapeau bas à tous ceux qui ont réussi à transformer le Coronavirus en « crise sanitaire mondiale », en « pandémie globale. Merci aux médias alarmistes, merci aux politiques dictatoriaux, merci aux scientifiques corrompus ou dogmatiques.
Nous tenons par cet article à leur exprimer toute notre gratitude. Gratitude qui vient du mot « grâce ». Oui nous avons été touchés par la grâce, grâce à vous.
Cette crise est une révélation, un dévoilement, une apocalypse. Et après l’apocalypse vient un autre monde. Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore.
Depuis plusieurs années, nous sentions bien que plusieurs choses « clochaient » dans ce monde. Pris par la vie de tous les jours avec ce sentiment confus d’un « quelque chose » qui n’allait pas, nous errions sans vraiment comprendre, nous raccrochant à ce monde vicié pour éviter la douleur de s’en détacher.
Heureusement, le virus et son narratif burlesque envahissant la surface du globe est arrivé, nous arrachant nos oeillères, nous laissant contempler le désastre.
D’abord, nous avons essayé de comprendre. Je peux vous le dire, nous n’avons jamais autant travaillé. Et je vais vous faire mal : nous sommes tous bénévoles ! Nous avons épluché tous les articles de sciences, toutes les informations, lois, décrets, ordonnances. Nous avons lu toutes les informations, celles des médias mainstream comme celles des « complotistes ». Nous avons appris à maîtriser internet, les réseaux sociaux, la communication, le graphisme, la communication non violente... Nous avons écrit, filmé, publié, coordonné, dessiné, chanté, dansé créé des œuvres d’art. Nous nous levons aux aurores et nous couchons lorsque nos yeux se ferment.
Vous vouliez nous appauvrir, vous nous avez tant enrichis : nos connaissances sont plus grandes, nous nous sommes découverts de nouveaux talents. Nous avons repoussé nos limites : plus que jamais nous sommes emplis d’espoir, de courage et d’allégresse.
Vous vouliez notre mort mais nous nous sentons plus vivants et rayonnants que jamais.
Vous vouliez nous désespérer, nous n’avons plus besoin d’espoir pour entreprendre.
Grâce à vous, nous avons pu cerner ce que nous ne voulions pas.
Nous ne voulons pas vivre masqués.
Nous ne voulons pas vivre en nous méfiant les uns des autres.
Nous ne voulons pas vivre dans la culpabilité hypothétique de « donner la mort » à nos proches en transmettant un virus.
Nous ne voulons pas vivre vaccinés de force tous les mois pour tous les virus qui sont ou viendront.
Nous ne voulons pas de passeport sanitaire, de reconnaissance faciale, nous ne voulons pas vivre fichés.
Nous ne voulons pas être incarcérés dans nos domiciles.
Vous vouliez nous séparer. « Attention, distanciation sociale : 1m, puis 1m50, puis 2m avec les nouveaux variants ».
Vous nous avez rassemblés.
Vous vouliez nous faire peur, nous sommes sortis de la caverne. Jouez tous seuls avec vos ombres.
Vous vouliez nous abrutir devant la télévision, nous l’avons éteinte et demain nous jetterons devant nos seuils tous vos biens de consommation à l’obsolescence programmée.
Vous vouliez nous imposer le passeport sanitaire, nous surveiller, nous reconnaître facialement, nous pucer peut-être ? Nous avons faim de liberté.
Vous vouliez nous vendre des médicaments couteux à l’efficacité et à la sécurité douteuse ? Nous arpentons d’autres chemins de santé.
Vous vouliez nous imposer votre vision du monde, marchande et basée sur la dette éternelle, la dépossession intégrale, jusqu’à celle de nos propres vies ? Nous posons les premières pierres d’un autre monde enthousiasmant basé sur la gratitude, la joie et la présence à l’autre.
Alors un immense merci à vous pour tous ces bienfaits.